Les humains qui nous entourent
La, sur cette photo vous pouvez voir : LE jeu de dés bolivien auquel tout le monde joue dans les bars, le CACHO. Il y a aussi Diego le barman-DJ-trop-cool-prof-de-Cacho et Romu, notre tepo français qui a logé avec nous brièvement, pour ceux qui ont suivi.
Ici, nos collègues de travail attitrés : Vladimir (nom surprenant pour un Bolivien ? non, assez répandu, comme un pied de nez aux states d’après son explication) il est mou et gentil, comme Fabien (en mille fois moins beau et moins drôle, évidemment). Benito n’est pas grand, mais il est vaillant : sourit tout le temps et ne quitte jamais son bonnet.
On ne peut pas dire que ce soit les meilleurs optimisateurs de temps que la terre ait porté : on s’est déjà rendues 2 fois à Tiraque (le petit village sur lequel porte notre étude) pour visiter la maison qui nous servira de pied-à-terre. Les deux fois, en vain, la propriétaire absente, deux ½ journées de perdues, qu’un simple coup de fil aurait permis d’éviter (trajet aller-retour 2h + le temps de manger sur place en regardant les infos = 3h).
On a visité cependant une maison qui pourrait ressembler à notre futur QG sur Tiraque : 4 murs fissurés, une ampoule basse tension, pas de fenêtre : Chagas nous guette (aaah).
Voilà les 3 habitants de la maison qu’on vient de quitter : Christophe et Margot (avec un rire digne de Fabien et Morgane), le couple le plus choupinou de la terre –ne lésinons pas sur les mots- : aucune marque d’aigritude malgré pleurs incessants du bébé et découverte du 5ème vol consécutif de leur vélo.
Amadeo c’est le bébé.
François, ledit Fifon, leur colloc, c’est celui à l’écharpe.
Maintenant on est à l’hostal pour 1 ou 2 semaines, en attente de notre future super colloc avec un bolivien et 2 boliviennes chouettes, et ça pour seulement 28€ par mois. Plus de détails à suivre…
Le mot du jour : BOMBILLA = AMPOULE